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Intervenants

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Daniel Marc (DVM, PhD, HDR, membre de l’équipe « Pathologie et immunologie aviaires ») :

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Recherches : La conception de nouvelles stratégies antivirales demande de bien comprendre les mécanismes moléculaires de la réplication virale. Ses recherches se concentrent sur la protéine non structurale NS1 des virus influenza, qui leur permet de résister aux défenses antivirales de la cellule hôte. En particulier, il cherche à explorer les relations structure-fonction de la protéine NS1 : in vitro : liaison à l’ARN et expression transitoire de NS1, in vivo : virus génétiquement modifiés et modèle d’infection par le virus influenza chez le poulet.

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Olivier Reynard (membre de l’équipe « Bases Moléculaires de la Pathogénicité Virale ») :

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Recherches : Les recherches de cette équipe ont pour objectif l’exploration des bases moléculaires de la pathogénicité virale de plusieurs virus hautement pathogènes, et notamment les filovirus; Ebola et Marburg et le Paramyxoviridae Hendra et Nipah et le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo. Actuellement, il n’existe pas de vaccin ni de traitement contre ces agents pathogènes dangereux. La possibilité de transmission interhumaine et la menace de propagation intercontinentale font de ces agents d’importants problèmes de santé humaine. L’objectif principal de ce programme de recherche est de comprendre les mécanismes moléculaires conduisant à la forte pathogénicité de ces virus avec un accent particulier sur les interactions virus-hôte lors de la réplication virale et les mécanismes d’émergence virale.

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Karl Stefic (PharmaD PhD, Assistant Hospitalier Universitaire, INSERM ,membre de l’équipe « Morphogenèse et Antigénicité du VIH et des Virus des Hépatites ») :

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Recherches : Les projets de l’équipe sur la morphogenèse virale visent à avoir une meilleure compréhension du cycle infectieux du VIH et des virus des hépatites, notamment leurs étapes d’assemblage. Le but est d’essayer d'identifier les caractéristiques moléculaires des protéines d'enveloppe associées à l'induction d'anticorps neutralisants (ou au contraire à l’échappement à la neutralisation) et d'identifier l'impact de la diversité virale sur les propriétés antigéniques et fonctionnelles des glycoprotéines d'enveloppe virale. Les objectifs à long terme sont de contribuer à la conception d'immunogènes optimisés pour induire des anticorps de large spectre contre ces virus. L'unité tire bénéfice de son expertise dans la morphogenèse virale, et notamment sur le modèle de l'assemblage des particules d’excès d’enveloppe du VHB, pour générer des particules sous-virales comme concept pour de nouvelles stratégies vaccinales originales.

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Jérémy Béguin (Docteur vétérinaire, Doctorant à l’Ecole doctorale Paris Est) :

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Recherches : Vétérinaire diplômé de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort en 2012, ayant effectué une année d'assistanat au centre hospitalier Frégis puis deux ans en tant qu'assistant hospitalier en médecine interne au sein de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort et ayant finalisé sa formation en médecine interne par un Certificat d'Etudes Approfondies Vétérinaire. Depuis 3 ans, chargé de consultation en cancérologie à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort. À la suite d'un Master 2 de cancérologie portant sur l'étude in vitro de vecteurs viraux oncolytiques développés par Transgene, début d’une thèse de sciences ayant pour but de tester ces vecteurs in vivo.

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Martine Cerutti (Responsable de l’équipe « Baculovirus et Thérapie ») :

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Recherches : Spécialiste de la production d'anticorps recombinants ou de protéines à usage thérapeutique. Le groupe du Dr Cérutti fait partie de plusieurs consortiums de recherche français: (i) le Groupe de recherche CNRS (GDR) «Anticorps et ciblage thérapeutique» qui associe de nombreux laboratoires universitaires et du secteur privé spécialisés dans la découverte et la production d'anticorps thérapeutiques ; (ii) le projet de laboratoire d’excellence «MabImprove» (LabEx), qui regroupe plusieurs laboratoires universitaires, médecins et chercheurs pour la découverte et l’optimisation d’anticorps thérapeutiques; et enfin, elle a co-écrit 98 publications scientifiques et a été nommé dans de nombreuses demandes de brevet couvrant la production d'anticorps anti-baculovirus.

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Karim Benihoud (Professeur chez Université Paris-Sud, Responsable d’équipe « Vectorologie Virale à l’Institut Gustave Roussy) :

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Recherches : Thématiques centrées sur l’utilisation de vecteurs ou de virus oncolytiques dérivés des adénovirus humains. Ces différentes approches visent à : Contrôler le tropisme des vecteurs adénoviraux : les objectifs sont d’améliorer le transfert de gènes dans les tumeurs tout en minimisant le transfert de gènes dans les tissus non ciblés. Plus particulièrement, le but des recherches sont de réduire les interactions des adénovirus avec le foie et le compartiment sanguin. Développer des approches de virothérapie antitumorale : les objectifs sont d’évaluer la capacité de différents adénovirus à réplication conditionnelle (adénovirus oncolytiques) à se répliquer et lyser les cellules tumorales. Plus particulièrement, certains travaux évaluent des traitements combinés  d’adénovirus oncolytiques et de chimiothérapies. Développer des stratégies de vaccination : Avec l’étude d’une approche de vaccination basée sur l’insertion d’épitopes de protéines hétérologues dans la capside de l’adénovirus.

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Catherine Schouler (Responsable de l’équipe « Pathogénie de la colibacillose aviaire ») :

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Recherches : La colibacillose aviaire, induite par des souches spécifiques d'Escherichia coli, est la principale maladie d'origine bactérienne de la volaille. Celle-ci est aujourd'hui principalement traitée par des antibiotiques. L'augmentation de la résistance à différentes classes d'antibiotiques et les restrictions sur l'utilisation d'antibiotiques par l'Union européenne ont conduit à la recherche d'alternatives telles que la thérapie bactériophage. L’équipe "Pathogénie de la colibacillose aviaire" a pu isoler et caractériser divers coliphages comme agents de lutte biologique prometteurs. 

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